Le voyageur

1er cycle:

1) L'ombre du voyage :



Il s'est perdu, égaré dans l'immensité du vide et du désarroi....
Il a quitté le chemin, tourné le dos à sa raison
Il a oublié pourquoi il était là, ce qu'il faisait ici...

Le parfum de la fleur de lune n'est plus qu'une vague illusion
Cette chanson n'est plus qu'un murmure pour lui et aussi proche qu'il en a l'air, son âme demeure bien trop éloignée...

Il a oublié pourquoi, il a oublié son nom, il a oublié son identité....

Alors il va errer....jusqu'à ce qu'un autre sentier se dresse à ses pieds et là... il pourra faire son choix....


2) La verité :



Où es tu douce brume ?

Reviens ! Emporte moi !
Laisse moi suivre tes pas
Passer derrière le rideau

Dehors il pleut, il fait froid...visiblement on t'as oublié, plus personne ne conte tes exploits, tes voyages...ta fuite..

Bien c'est alors ta volonté, ta décision...mais excuses moi, je ne puis t'accorder le pardon..
Tu n'avais pas le droit de partir ainsi, de déserter... désolé c'est peut être moi qui n'ais pas bien compris. .Peut être que je suis fou, peut être malade, ou tout simplement marqué par l'ignorance.

Il est perdu, sa raison l'abandonne...il erre, il cherche, il demande...
Un jour il trouvera


3) Le premier éveil :



Ca y est, enfin...le bout du chemin n'est plus qu'à quelques pas
Il va pouvoir rentrer, il va pouvoir changer, il va pouvoir s'arrêter
...Mais son ombre le rattrape, elle gagne du terrain, elle est devant lui..
...Elle lui attrape le bras droit...

Sous la douleur il tombe, il se recroqueville, il sombre dans la nuit....

Débute alors un long sommeil léthargique, le jeune marcheur reste là à rêver, cauchemarder, dormir.. quand soudain, son vieux guide lui réapparaît, et là il comprend que même dans ses rêves il est capable de voyager, de parcourir, de voler....
Une légère brume bleuâtre l'enveloppe alors l'élevant dans le néant, peu à peu il reprend raison, il reprend connaissance...Doucement l'être s'éveille...il ouvre les yeux...il se relève.

L'éveillé se tourne vers son ombre, la prend par la main et lui dit :

« J'ai compris... je t'en pries, montre moi... je suis prêt. Tu es ma pensée, tu es mon cœur, tu es ma douleur, tu es mes rires, mon malheur et mon bonheur, ma souffrance et ma joie... Tu es mon âme.

Je suis prêt montre moi, ô mon guide »

*clap clap*

Une poésie liée à ton personnage ou bien tout à fait hors-Wow ?

" Il est venu les poches vides,
les yeux arrides,sans larmes,
il vient de loin,pas besoin d'armes.

il est venu,le regard noir,
fixant l'horizon en attendant,
quelques regrets et peu d'argent.

il est venu la faim au ventre,
une voix lui chuchotait "rentres,rentres"
mais il continuait d'avancer parmis les cendres.

il etait venu la chercher,
et jamais il n'est retourné chez lui,

ce texte est pour cet etranger qui se promene dans les nuages et se nourrit de la poussiere des etoiles. "


C'est pas de moi, c'est un pote qui l'a écrit mais ca constitue une tres bonne suite ou plutôt un bon interlude entre le Cycle du voyageur et le prochain texte que je suis actuellemnt entrain d'écrire... Quand ça sera terminé un éclaircit se fera sur le Background de Kryack et ptaitre même que ce sera le bon moment de lancer un event, si ca vous tentera ...

La suite au prochain numéro...

Bon... ca fait un peu truc d'ado qui decouvre la vie tout pourri. Mais jveux vous partager un truc. C'est pas super bien ecrit, ca peut faire assez cliché mais je tiens tout de meme a le poster.




Dans les ténèbres du couloir

Une lumière s’est un jour levée

Et c’est en proj ‘tant l’ombre noir

Que son visage s’est transformé.



En s’élevant la lueur a marqué cette trace

Lui montrant soudain la pâleur de son essence.

Il comprit alors la clarté de ce contraste.

Et c’est en lui donnant la parole qu’elle l’ouvrit au silence.





Sans lumière il n’y a pas d’ombre. Et sans cette image du sombre notre guide n’est plus.


Un voyage est fait de feu et de glace. Et c’est grâce a notre flambeau que l’équilibre se restitue.

Le crépitement d’une étincelle marque les accords de musique dans la symphonie du silence.